Ludovic Lucquin et Germain Vincenot Marchal sont allés passer quelques jours en Indonésie pour un premier contact officiel avec le promoteur du championnat de supermotard, ainsi que la fédération de sport auto et moto, l’IMI. L’objectif était d’échanger sur l’organisation locale du championnat de supermotard.
Ce séjour a été également l’occasion de mesurer la bonne notoriété du team Luc1 sur place, et de préparer une collaboration qui offrira de bonnes opportunités à l’avenir, dans un pays ou le deux-roues à moteur et le supermotard sont très présents.
Ludovic Lucquin : « Nous avons été invités par le promoteur du championnat de Supermotard Indonésien. Nous avons également été sollicités pour donner notre point de vue et partager notre expérience de l’organisation des épreuves de supermotard, notamment sur le tracé, et aussi sur d’autres aspects. Ce voyage a enfin été l’occasion pour Germain Vincenot d’effectuer une démonstration.
Après un long vol de 17h pour Jakarta avec une escale à Doha, au Qatar, nous avons découvert un pays superbe et étonnant. La première grosse surprise a été le nombre de deux-roues à moteur: plus de 9 millions sont mis en circulation chaque année, pour une population totale de 265 millions. La culture du deux-roue est donc très présente.
Sur le circuit nous avons été accueillis avec beaucoup d’enthousiasme. Le promoteur avait fait réaliser un gigantesque kakémono aux couleurs Luc1, et de très nombreux fans ont réalisé des photos et des selfies avec Germain et moi, c’était vraiment impressionnant de voir que nous sommes très suivis en Indonésie. Les vidéos et la communication que nous réalisons ont un gros impact et font que le nom Luc1 bénéficie d’une forte notoriété. Germain a donné des conseils le samedi pour la partie terre, et à notre grande surprise, tout avait été modifié le dimanche pour améliorer le tracé.
Nous restons en discussion avec les organisateurs, et nous allons y retourner début septembre pour une course en 250. Nous sommes très agréablement impressionnés par notre séjour, et j’espère que nous pourrons y retourner régulièrement, notamment grâce à de bons contacts avec Honda sur place. En effet c’est une région pour lequel le développement du supermotard est important. »